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La sécurité touristique:
Nouveau plan d’organisation de la circulation et garantie de sûreté
L’existence de maladies, d’épidémies ou de virus transmissibles, tels la maladie de la vache folle, ou le SR De multiples médias ont diffusé le 20/9/04 des informations sur l’ J’ai visité dernièrement l’Iran et le royaume du Maroc, et auparavant la Syrie, le Liban et la Jordanie. Pour réduire le nombre des victimes de la circulation, les gouvernements pompent des millions, voire des milliards, de leurs budgets en vue de construire des routes, de les élargir et de les doter des équipements et des compétences nécessaires pour maîtriser le mouvement de la circulation. Mais, cet élargissement excessif est l’une des causes de l’augmentation des accidents de la route et non l’inverse. Car, ces extensions visent l’absorption de l’augmentation croissante des moyens de transports et l’élimination des embouteillages ; non pas l’amélioration de la qualité de la circulation et le respect de son code et sa déontologie. Quelle est la solution alors? Les pays développés ont étendu leur réseau routier et ont créé des métros, des tramways, des bus dans les villes, qui ont la priorité dans les heures de pointe. Ils ont instauré des routes propres aux cyclistes, aux bus et àdes véhicules spécifiques, tels les bus de touristes, d’écoliers et de vieux… De telles mesures ont-elles mis fin aux accidents de la route? Bien sûr que non. Mais, elles les ont considérablement réduits. Si l’on compare le nombre de voitures et la rapidité de la circulation dans les pays développés avec ceux des pays en développement, on devrait trouver que les accidents n’y représentent que 10% de ceux qui se produisent dans ces derniers, même si dans certains pays, tel l’ Ponts suspendus pour les cyclistes S curit Certaines de ces idées sont révolutionnaires, exigent des budgets considérables, un plan et une exécution révolutionnaire, notamment pour les pays riches en ressources. J’ai une proposition de nature àaugmenter la capacité d’absorption du mouvement da le circulation en fournissant davantage de quiétude et de sécurité. Ma proposition consiste àrésoudre le problème du croisement des différents moyens de transport qui est la cause de plusieurs accidents. Voilàprès de 20 ans que j’avais Å“uvré àdévelopper cette idée dans ses détails et ses formes. J’en avais élaboré une maquette que j’avais présenté au ministre du transport britannique par le biais d’un ami avocat. Il l’a accueilli favorablement. Toutefois, la profusion des idées que j’avais alors et mon implication dans certaines d’elles, m’avait empêché d’en faire le suivi. De même, il y a ceux qui découragent ceux qui ont des idées lumineuses et s’activent àétouffer celles-ci dans l’œuf. L’idée en bref consiste àconstruire des ponts suspendus pour les cyclistes sur des colonnes dont la grandeur est proportionnelle avec la légèreté des cyclistes. Ils seront dotés de stations pour la descente et la montée des cyclistes, ainsi que de points d’arrêts perpendiculaires s’appuyant sur le mouvement des chaînes métalliques pour le dépôt des bicyclettes ou pour leur location d’une station àune autre. La partie inférieure de ces ponts peut être exploitée pour les besoins de l’éclairage des rues et pour les panneaux de signalisation. On peut aussi réserver des routes pour les motos en dessous des routes suspendues des bicyclettes. Le boulevard comporte ainsi des chemins pour chacun des moyens de transport : une ligne pour les bus et taxis, deux lignes pour les voitures privées et autres, deux ou trois lignes pour les motos, surélevées par rapport au niveau du boulevard avec des entrées et des sorties au niveau des croisements, des lignes pour les bicyclettes suspendues au milieu du boulevard. Les trottoirs doivent être agencés et dépourvus de tout obstacle. Il en est de même pour les passages de part et d’autre de la route. Cela, afin d’assurer aux piétons leur liberté de mouvement pour se promener ou faire leurs courses àl’intérieur des villes. Les bienfaits de l’usage élargi des bicyclettes sont innombrables aux niveaux sanitaire, environnemental, économique et de la célérité. Il est nécessaire de généraliser la mise en place de plaquettes portant les noms des boulevards et des rues sur des poteaux de manière uniforme àchaque croisement de routes : sur chaque poteau on met deux plaquettes, l’une de face portant le nom du boulevard principale et l’autre de biais indiquant le nom de la rue. Ce système est utilisé en En 1959, j’habitais dans une maison àla banlieue de En citant ces détails, je veux indiquer ce qu’il faut faire. Il faut qu’il y ait des commissions pour étudier et analyser attentivement les accidents de la route, afin de trouver des solutions pour éviter les accidents douloureux. Ma femme a récemment passé l’examen pour l’obtention du permis de conduire, avec ses deux volets, théorique et pratique. Elle a réussi le premier volet après avoir lu le livret du code de la route et avoir pris connaissance des matières de l’examen. Elle a également effectué ellemême des tests expérimentaux sur chaque matière du code, les panneaux de signalisation et les priorités. Quant au examen pratique, elle n’y a réussi qu’au bout de la quatrième fois. Enfin, ne vaut-il pas mieux prévenir que guérir? La prudence n’éloignet- elle pas le destin? «Dis leur de travailler. Dieu, son émissaire et les croyants verront votre travail». Que Dieu nous guide pour réussir. Copyright © A S Shakiry and TCPH Ltd. |
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